Back on the track.

Et me revoilà ! Oui normalement c'était hier, mais j'ai eu beaucoup d'empêchement liés à mon pc qui ne voulait pas s'arrêter de jouer, donc mea culpa, mais je suis là, et bien là !

Je ne vais pas m'éterniser sur le bac, parce que c'était chiant. On s'est farci un bon texte d'Allemand bien lourdingue sur l'intégration gnah gnah, avec une fille qui venait du Kazakhstan, et bla. Un truc bien bancal, de peur d'en faire trop, je me suis contenu, en essayant de présenter quelque chose de simple et d'efficace. De toute façon, vu le nombre d'élèves qui font allemand en langue vivante 1, si ils nous filent des sales notes, ça leur fera de la mauvaise pub. Réfléchissez-bien, messiers les correcteurs.

L'anglais était un calvaire. Non pas parce que le texte était dur (il était même plutôt rigolo, un type qui se retrouve dans un patelin australien) , mais parce que ça sentait le sujet "vite fait mal fait" , à base de questions très vagues ("qu'est ce que recherche machin ?") très chiantes ("citez 5 phrases pour soutenir ce que vous dites") mais surtout très frustrant, puisque quasiment toutes les questions des exercices de compréhension du texte avaient des mini-consignes style "10 mots max" . . . C'est comme donner de la gouache bleu et rouge avec un vieux pinceau à Leonard de Vinci et lui demander de peindre la Joconde. Que de talents gâchés. Heureusement, ils avaient vraisemblablement oublié cette consigne à un exercice, où j'ai donc pu me lâcher.
Les deux trucs de rédaction était à moitié relou (le premier je m'en souviens même plus, c'est dire) et à moitié rigolo (décrire un endroit où on est regretté d'aller, j'ai inventé n'importe quoi, c'était génial)

Mais tout cela est fini ! Nous sommes bien soulagés, nous autres éleves, et en attendant de savoir quand est ce qu'on va aux rattrapages, on s'est bourrés la gueule et tout. C'était super.

Pour en revenir au blog, demain j'essaierais de tapoter un truc vite fait sur Ouendan ou Heroes V. Sachant que je repars dans un mini-voyage de demain après-midi à samedi, il y aura encore une petite période de disette. Je vous rassure : ce n'est que le début.