Episode 1 Marathon

Oh bah non, j'allais quand même pas passer une semaine sans rien mettre.

J'ai des habitudes bizarres. Tout capable de passer des heures à écrire des trucs de geeks comme un maniaque (SUP's game mechanics, anyone ?) , des qu'il s'agit de regarder un truc sur mon pc, ça ne va plus, je décroche.
J'en sais rien. Ma chaise n'est pas inconfortable. J'ai du temps. Là, tiens, je viens de passer 3 heures sur le pc. J'ai des bazillions de fichiers à mater. Mais pourtant, je n'en fait rien. Pire, je continue d'en récolter.
Je ne compte pas disserter longtemps sur la sur-activité qui règne moi en et que toute personne me connaissant me reproche. Juste pour dire que ces habitudes de glandage ont fini par faire de moi un "first ep watcher" .

Je suis devenu quasiment incapable d'aller plus loin que le premier épisode d'un anime que je regarde. On pourrait incomber la faute aux animes en question, mais non. J'ai juste une flemme terrible. Résultat, je me trimballe avec des tonnes d'épisodes 2 et 3 sur mon pc, et très peu d'entre eux voient la fenêtre de winamp.
Néanmoins, ça me permet de faire du fast reviewing vite fait bien fait. Vite fait, en tout cas.

Donc voilà en exclusivité, the great and fast and well-done review of every first episode I saw this year, and maybe the years before, otherwise I Would run out of content very quickly. Soit le "TGAFAWROEFISTYAMTYBOIWROOCVQ" . Oh c'est marrant, y a "fisty" dedans.

Knights of Ramunes : Des vierges qui se touchent créent des couloirs magiques pour aller sur des vaisseaux-mères de méchants. Elles délivrent des enfants. Les méchants attaquent une planète, avec des robots qui détruisent des vaisseaux. Les méchantes prennent une douches. Les 2 gentilles s'en vont en robot, tape un robot, aterrissent. La secrétaire cyborg du méchant se fait violer (par le méchant)

Ichigo 100% : J'ai tenu 2 épisodes et 5 minutes du troisième. Love Hina vitesse fois 12, QI des personnages divisés par 15. Oui, QI des personnages de Love Hina divisés par 15. Pour la petite histoire, Ichigo 100%, à la base c'est un shojo qui parait dans le jump. Comme diraient nos amis de 4chan "What if I divided by zero, time paradox, oh shi-"

Futakoi Alternative : 3 épisodes. J'ai rien compris mais ça avait l'air plutôt fun.

Sword No Aquarion : Ca je m'y repencherais un jour, parce qu'impossible de savoir si c'est humouristique ou si c'est le truc le plus cheesy qui existe (aux côtés de Final Fantasy : Advent Children) . Sinon c'est joli.

Grenadier : Des types avec des lances qui se battent contre des types avec des mitraillettes. Une fille qui pense et agit principalement avec ses seins. Vraiment. Le premier épisode est proprement hallucinant, mais on saisit très vite les limitations du délire.

Mai Otome : Un anime récent avec des maids. Outre le "time paradox" , on notera que ça ressemble à du n'importe quoi, mais possède malgré tout un certain magnétisme.

Ramuiro Senkitan : Il parait que ça parle de robots. Pour ma part je me suis arrêté à la (première?) scène de bain. Mais le générique est tout bonnement monstrueux. Je crois que j'ai jamais autant ri devant un opening.

King Of Fighters Another Day : J'ai vu 3 épisodes, c'est sympa, ça dure pas longtemps, ça se tape sans raisons précises. Bon évidemment le mec qui connait pas KoF il va être un peu dubitatif . . . mais les mecs qui connaissent KoF le seront surement aussi en voyant les personnages de Maximum Impact sur le devant de la scène (ha ha ha)

Hellsing Ultimate : Le premier épisode regroupe les trois premier de la première saison en un temps record. C'est assez idiot, si on y réfléchit. Parce que ça a l'air totalement naze si on sait pas ce qui se passe dans les hellsing, et c'est quand même un peu chiant si on sait ce qui s'y passe. Mais bon le graphisme a été revu au gout du jour, et l'histoire semble s'approcher de celle du manga. Ca évitera d'avoir un gros vampire moche qui met 6 épisodes à être tué.

Airmaster : Bon en fait là j'ai vu les 27 épisodes, mais dans le tout il y a aussi peu de continuité et vraisemblance que dans un épisode d'anime normal. Néanmoins, les amateurs d'ovnis mangazoide devraient se précipiter dessus. Les autres peuvent se contenter du premier épisode qui introduit un personnage phare dans l'univers de la japanimation : Luchamaster. Mais ce serait rater l'ouvrier qui a un "coup de poing - marteau piqueur" , le gamin qui se bat avec un BMX, et surtout, l'homosexuel de 3m de haut avec des bras de 2m qui veut porter l'enfant de son chef de gang. Vous ne le saurez pas encore, mais vous allez déjà être fan.

Bobobo Bobobo : Préparez la touche pause pour lire toutes les notes explicatives quant à l'humour de ce manga particulier où figure en guise de héros un type avec une afro blonde qui se bat avec ses poils de nez et d'aisselles. Préparez aussi une bonne dose de courage. Et pour les plus acharnés incapable d'attendre la sortie des releases anglaises, un dictionnaire franco-espagnol.

Guu : Ah non, ça c'est bien.

Sexy Commando Gaiden, Sugoiyo! Masaru-san : Ah non ça c'est génial.

Génial, l'analyse approfondie est moins longue que le titre de l'anime !

Divergence Eve : Echappe à toute tentative de description. Je pense que c'est le seul anime où j'ai du vraiment faire une pause tellement je ne le supportais plus.

Là, je n'ai plus trop d'idées. Mais si vous réussissez à regarder chaque épisode de tout ce qui est suce-cité, vous êtes un Dieu. Peut-être pas le mien, mais vous en êtes un, surement.

Cette image me fait rire.

Comments

[Zali_Falcam]

Lepremier épisode de Grenadier, comme tu l'as dit en vaut vraiment la chandelle. Ce qui est dommage, c'est le contenu des suivants. Au lieu de pousser le délire juqu'au n'importe quoi le plus absolu (après tout, pourquoi pas une scène de breast trampoline avec Cuneÿt Arkin ?), l'histoire s'enfonce dans du banal shonen pas drôle, l'héroïne ne fait quasiment plus rien de rigolo avec ses pis, et les méchants sont absolument sans la moindre espèce d'intérêt. J'ai lâché l'affaire en voyant que de la joyeuse case du nanar, Grenadier verse très rapidement dans le navet le plus crétin.