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Geektature
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26 décembre 2009

Thank you Koei.

Dans mon article sur Forklift Truck Simulator, je laisse sous-entendre mon léger dédain pour les suites à répétition des jeux de sport, qui gagnent une itération chaque année et où le nombre d'apports est relativement négligeable, se limitant généralement à une mise à jour des transferts des équipes et, à la rigueur, à un nouveau moteur physique permettant de gérer le cuir du ballon quand il se fait frapper, ou des conneries du style.

C'est un peu hypocrite de ma part. J'ai moi aussi un petit pêché mignon : une série de jeux dont les différences sont extrêmement peu visibles à l'oeil nu pour un spectateur mal informé, mais qui font couler de l'encre s'effacer les touches du clavier sur les forums de connaisseurs.
C'est en essayant de ranger un peu ma ludothèque que je me suis rendu compte : j'en ai une quantité presque effroyable qui sont estampillés "Koei". Et une bonne partie d'entre eux qui appartiennent à la glorieuse série des "Dynasty Musou", plus connu dans nos vertes contrées comme étant Dynasty Warriors.

Même si j'ai pris le train un peu sur le tard, je me suis largement rattrapé par la suite en jouant à la quasi-exhaustivité des jeux Dynasty Warriors que j'ai pu trouver. Un an avant la fin de la décennie (derp derp derp), une petite rétrospective de tous ces jeux s'imposait.

Dynasty Warriors 5

dynasty_warriors_5_ps2

À l'époque où j'avais encore des cours de civilisation chinoise, le jeu m'avait été prêté par un de mes confrères, vu que le sujet des Trois Royaumes avait été abordé. Ça peut peut-être en faire rire certains, mais le jeu n'est pas aussi historiquement dégénérescent qu'il pourrait en avoir l'air. Bien sûr, Zhuge Liang lance des lasers de partout (un élément que j'aurais bien aimé voir incorporé au film de John Woo) mais le jeu est basé sur un livre qui a été écrit plus de 10 siècles après les évenements, et qui était déjà relativement fantaisiste.

Son premier Dynasty Warriors, c'est quand même une expérience assez unique. On comprend pas grand-chose à ce qui se passe, on se perd sur la carte, on débloque des bazilliards de trucs à chaque fois qu'on finit un scénario, et on meurt à la bataille de Cheng Du contre Lu Bu. La compréhension de l'histoire est largement entravée par la myriade de généraux de base aux 5 types de visage différents qui passent leur temps à nous intimer d'attaquer des types avec qui on se retrouvera allié au scénario suivant. On se rappelle jamais qui est important ou qui ne l'est pas, ce qui n'est pas aidé par le fait que des figures majeures de l'histoire aient des tronches moins mémorables que celles des NPCs. Le tout est surtout assez confus au début, vu que ça se calme par la suite, quand le jeu devient une grande suite de combat rouges vs bleus vs verts.
Mais si on prend le temps de gravir lentement la learning curve, on finit par devenir accroc. On peut se plaindre de la répétitivité du gameplay, avec son bouton "taper", son bouton "taper plus fort à la fin du combo" et son bouton "furie", mais malgré tout, le jeu a une certaine profondeur et une certaine richesse qui fait qu'on a toujours une raison d'y revenir. Débloquer des objets, des illustrations, des armes spéciales, des gardes du corps, des nouvelles maps, etc. (il y a notamment une map spéciale "Dong Zhuo vs Zhang Jiao" dans DW5 qui n'est débloquable qu'en jouant un de leur mode campagne, ce qui, au vu du charisme de l'un et de l'autre, ne devrait pas faire partie de vos priorités). En général, on a toujours quelque chose à faire.
Au final, si le genre du "beat'em all" est mort lors du passage à la 32-bits, le principe du "avancer puis taper" a quand même persisté d'autres manières, que ce soit via Capcom et les Devil May Cry, ou Koei et ses Dynasty Warriors, avec ses maps grandes et ouvertes, remplies de Chinois habillés dans une couleur qui n'est pas la vôtre, et qu'il vous faut génocider dans la joie. On en revient à un plaisir très basique du jeu vidéo, qui est un vrai "hit-or-miss" selon les joueurs, et qui est donc souvent descendu par la presse. L'effet peut autant être celui d'une drogue que d'un vomitif.

Dynasty Warriors 5 X-treme Legends

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Quel nom à la con. Le "X-treme Legends" est le nom pour les expansions qu'ont connues une certaine partie des Dynasty Warriors. Dans le cas du 5, elle est assez anecdotique : quelques "dream stages" passant sur des moments assez obscurs (voir carrément inventés) de l'histoire qui ne sont pas exploités dans le jeu principal, soit des petits scénarios qui ont le mérite d'être assez intenses grace à l'immense scriptage dont ils font l'objet. Ça occupe, mais ce n'est pas non plus palpitant.
Il y a aussi un mode "Création de Perso" assez limité (10 modèles de cheveux et 10 modèles de visage par sexe, plus des fringues pour la tête, le haut du corps, et le bas du corps) mais quand même amusant. Il s'agit aussi plus ou moins de 2 persos rajoutés, car au moment de choisir le style de combat, vous pouvez leur filer, outre le moveset des autres personnages, deux styles issus de Dynasty Warriors 3, que sont la grande épée et la rapière. Y est rajouté un assez long scénario exclusif à ces personnages, où vous commencez comme simple troufion sous les ordres d'un général que vous choisissez, et où vous gagnez progressivement en grade, obtenant des nouvelles armes, recevant des propositions d'officiers ennemis pour rejoindre leur camp, etc. C'est bien connu que les geeks adorent jouer à la poupée Barbie, le mode est donc relativement amusant. Parce que ce ne serait pas Geektature sans une pointe de sexisme, une des tenues féminines à débloquer requière d'avoir combattu pour les 3 camps différents lors du mode histoire, ce qui implique de trahir ses alliés 2 fois, là où l'équivalent masculin repose juste sur un certain nombre de Ko à atteindre avant la fin du jeu. Oh, Koei, you're such a card.
Il y a enfin un mode où le but est apparemment d'unifier la Chine, ce qui semble se traduire par combattre des groupuscules d'ennemis sur des cartes quasiment vides, encore, encore, et encore. Pas franchement passionant, c'est le moins qu'on puisse dire.
Au final, l'extension est largement dispensable, mais ayant trouvé une copie par terre en rentrant chez moi de la fac (PROUVE LE CONTRAIRE HADOPI, PROUVE-LE), ce n'était pas si déplaisant pour quelques soirées.

Dynasty Warriors 5 : Empires

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Comme pour le X-trem (j'aime écrire ça en accentuant le "X" dans ma tête, ça me fait sentir tellement stupide), pas mal de Dynasty Warriors ont connu une expansion "Empires", cette-fois en revanche complètement stand-alone par rapport au X-trem, où les armes, niveaux etc. des personnages pouvaient être importés.
Le Empires passe son temps à vanter son soi-disant mode stratégique. Ce qui est une blague évidemment, le gameplay et le moveset des persos sont identiques, et tout le côté "stratégie" repose sur le fait que les missions se font depuis une CARTE (oh mon dieu c'est comme si je jouais vraiment à Romance of the Three Kingdoms) et que le système de power-up et compagnie est sensiblement modifié. Les twists apportés ne sont pas si intéressants que ça, mais c'est un peu rafraichissant. Le mode de création de perso est toujours là, et ça permet de voir ses créations se promener et discuter durant le mode campagne, ce qui est toujours amusant.
En fait, ça ressemble plus à un mod qu'autre chose, mais l'un dans l'autre, je ne regrette pas vraiment mes 12€. Même si j'avoue avoir acheté le jeu en pensant que c'était le 6 : Empires.

Warriors Orochi

warriorsorochi

J'en ai déjà parlé, je ne pense pas que ce soit bien nécessaire de revenir dessus. C'est le point d'orgue des jeux Samurai et Dynasty Warriors de la génération ps2. Ce qui n'a pas empêché une suite d'avoir été commise. J'y reviendrai plus bas.

Dynasty Warriors 6

dw6

Apparemment, même quelqu'un avec un esprit aussi borné que Koei se sent parfois obligé de remettre un peu les choses à plat. Après des années passées à suivre une recette monolithique, DW6 se veut être une sorte de reset de la série : on change pas mal la gueule des persos, on change leurs armes pour la plupart d'entre eux, et on rénove le gameplay.
L'idée était louable, mais pour une raison assez étrange, Koei a opéré un nivellement par le bas presque embarassant, et le titre s'avère être plus une régression qu'autre chose.
Le nouveau système a des bons côtés. Les personnages héritent de deux nouveaux mouvements, deux sortes de petites "choppes", une qui est rapide et faisant peu de dégats, et une autre étant plus lente, mais aussi plus violente et imparable. Battre un officier avec un de ces mouvements offre un bonus d'expérience. Cela ajoute un côté "prise de risques récompensée" qui était complètement absent de la série jusqu'à présent, et c'est une bonne chose.
La mauvaise, c'est le système de base. Plutôt que de faire des combos à 8 coups, où il était possible d'interrompre n'importe lequel des 5 premiers avec une prise "spéciale", comme dans les anciens opus, les personnages peuvent maintenant enchaîner comme des demeurés pendant des heures et des heures, jusqu'à ce qu'il n'y ait plus d'ennemis, ou qu'on se soit fait contrer par un officier qui campait sur sa garde. Le système se veut plus "cinématographique" et fluide. Mais il est relativement inintéressant. Les coups de "charge spéciale" sont remplacés par un petit combo casse-garde, là-encore, pas fantastique.
Mais ça pourrait presque aller. Je veux dire, ils ont fait un effort, ils ont changé 2 - 3 trucs, on peut pas trop leur en vouloir.
Beeen . . . si. Le gros problème, c'est que plein de trucs de l'épisode précédent passent à la trappe, sans bonne raison. Plus de garde du corps. Plus d'objets spéciaux (remplacés par un arbre des compétences pour chaque perso ; fausse bonne idée, voir le paragraphe d'après). Il n'y a plus de changement "esthétique" de l'arme selon sa force, mais uniquement selon sa vitesse, ce qui est pas bien bandant. Jusque là ça passerait presque, mais la suite est moins réjouissante : certains personnages disparaissent purement et simplement. Non seulement ça : mais il n'y en a aucun nouveau pour les remplacer, et on assiste même à une "attaque des clones", certains bonshommes partageant exactement le même moveset et se jouant donc de façon parfaitement identique. Ajouté à cela qu'il n'y a plus qu'un tiers des persos environ qui ait un mode Histoire, les autres se limitant à être joué en mode "combat libre", et on se demande qu'est ce qu'ils auraient pu faire de plus pour les rendre encore moins attachants.
Une des conséquences indirectes de ces changements est que le jeu est sensiblement plus dur, surtout lorsque vous allez jouer avec des personnages que vous n'aimez pas. La doctrine est très simple : un game over, tu retournes à l'écran-titre, et les niveaux ainsi que les armes que t'as gagné pendant ta partie, bah tu te les mets profond, et tu tournes dessus. Soit. C'était pareil dans le 5. Mais là, les personnages n'ont plus un "coffre d'objets commun" contenant les power-ups et les gardes du corps : le seul élément qu'on peut passer de l'un à l'autre sont les chevaux, et même un super canasson ne transformera pas Sun Jian en personnage potable. Résultat, le jeu devient assez frustrant, et certaines campagnes doivent se finir soi en Easy (honte ultime et absolue, je préfère crever que de jouer à un jeu en easy), soit après avoir grindé sur des missions en freeplay.
Il n'est pas donc pas étonnant que la communauté de fans soient assez critique du jeu. Cela-dit, une partie de moi, une petite partie, misérable, vile, que j'aimerais faire taire mais sans succès, me souffle que la campagne complètement grand-guignolesque de Lu Bu valait largement les 10€ que j'ai payé pour le jeu. Et elle a surement raison.

Dynasty Warriors 6 : Empires

DW6E

Faut croire que Koei lit Geektature. Comme si ils avaient pris conscience des conneries qu'ils ont commises avec DW6, ils ont la bonté, pour l'extension, de ressuciter un des personnages absents (dans une version particulièrement awesome, je dois le concéder) et de différencier 4 ou 5 autres qui faisaient partie de la grande famille des clones, ce qui compte donc comme presque autant de nouveaux venants. C'est encore peu, mais il y a un peu de mieux.
Le "selling point" du jeu ne se situe pas là, cependant. Il ne se situe pas non plus dans le mode Empires, toujours aussi "voici une carte derp, c'est comme si j'étais vraiment Sun Tzu", même si le gameplay est cette fois-ci un peu plus varié que dans le 5.
Non, l'argument de vente, c'est un mode de création de perso. Ça fait un peu hausser des épaules (pas un seul moveset original, et vu que y a déjà plein de clones chez les persos existants, on tourne vite en rond), mais au moins, les possibilités de transformation physique sont largement plus vastes que pour le premier : 20 coiffures par sexe, avec autant de couleurs de cheveux possibles, possibilité de modifier les traits du visage séparément, nettement plus de fringues, de voix, possibilité d'influer sur les stats de la bestiole, etc. Si pour vous, le principal intérêt de Soul Calibur se trouve dans le mode de création de perso, alors DW6 : Empires peut s'avérer réjouissant.
À 31€, il aurait surement pu s'agir de la pièce maitresse de ma collection de jeux Koei, si je ne l'avais pas acheté avec un bon de réduction de 10€.

Warriors Orochi 2

warriors_orochi_2

Parfois, c'est trop. C'est vraiment trop. On a beau apprécier quelque chose, il y a ce moment où on frole un peu l'overdose.
Warriors Orochi 2, c'est ce moment. Et c'est un moment, très, très, très long.
Je sais que WO sonne vraiment comme une idée à la con, mais mélanger les univers de Samurai et de Dynasty Warriors était plutôt bien vu.
Nous le ressortir une deuxième fois, en revanche, là je sais pas. Et le gâchis est visible.
Tout d'abord, on s'extasie devant le nombre de personnages. Plus de 90. Oui, plus de 90 personnages, tous avec leur moveset uniques, pas un clone à l'horizon. Bon évidemment, si vous jouez à des jeux Koei depuis Dynasty Warriors 5, ça va être la 5ème fois (DW5, DW5:X-trem, DW5:Empires, Warriors Orochi, et maintenant Warriors Orochi 2) que vous allez vous taper exactement les même persos qui se comportent exactement de la même façon. (oh mon dieu Yuan Shao tu es toujours aussi fort). Mais laissons passer. 90 persos, quoi !
Ça va surement en faire ricaner certains, mais il y avait quand même un semblant de characterization dans Warriors Orochi premier du nom. Chaque mission était en général consacrée à un personnage, qui vous rejoignait par la suite. Chaque perso avait donc son stage à lui, avec ses répliques, ses vannes, etc. Pas fantastique évidemment : mais déjà pas mal.
Dans Warriors Orochi 2, les campagnes sont raccourcies, donc vous récupérez vos personnages à la fin de chaque mission par paquet de 2 ou 3. Il faut aussi ajouter à ça le scénario complètement débile, qu'on pouvait peut-être pardonner la 1ère fois parce que bon, l'idée était originale, mais là, ça commence à être lourd. "Alors c'est 4 types, ils veulent ressuciter Orochi. Et ils le font. 4 fois.". Sauf dans la campagne ajoutée, qui se déroule du point de vue des méchants sans qu'aucun des évenements qui se produisent dans les autres modes Histoire n'aient d'impact, à se demander si les évenements ne se passent pas en fait durant l'opus précédent (ce qui doit d'ailleurs être le cas).
Je pourrais gloser longtemps, mais avouons-le : WO 2 est un jeu frustrant. Les personnages ajoutés sont fort sympathiques, mais ne méritaient probablement qu'on refasse tout un jeu rien que pour eux. Surtout que le jeu a parfois la forte odeur du soft fini à la pisse et pas du tout optimisé, avec des grosses chutes de framerate sur les niveaux les plus peuplés. Om nom nom, délicieuses plaines du Wu Zhang, c'est TEEEELLEEEEEMENT LEEEEEEEEENT.
Mais le plus frustrant, c'est ce côté "tu ne me finiras jamais à 100%". Prenons un truc bète : vous voulez débloquer tout les personnages. Une fois que vous avez fini les 5 modes campagnes, vous vous rendez compte qu'il vous en manque toujours un : le boss caché, "Orochi X" (tellement original que mon cerveau explose). Petit coup d'oeil sur Gamefaqs : il faut finir toutes les missions "bonus". Ok, no problem.
Ces missions sont amusantes en soi, mais toutes les débloquer relève du courage incroyable, ou du chômage intensif. Révez un moment : débloquer la mission 26 ? Le niveau cumulé de vos personnages doit atteindre 3640. Pour les missions 16 et 18, 6 personnages SPECIFIQUES doivent être au niveau 99. J'espère que vous aimez Gan Ning. Parce que moi, non.
Et encore, si il n'y avait que ça, ce ne serait pas le pire. Il est possible de leveler assez rapidement. Mais le jeu a rajouté quelque chose d'encore pire : la "proficiency".
Cette merde effroyable monte en parallèle aux levels : vous y gagnez un niveau tout les 5 officiers tués (ou, si vous voulez compter en péons, tout les 500 péons massacrés), et chaque personnage a un niveau maximum fixé à 50. Ce truc ne sert à RIEN, à part à débloquer des costumes (comprendre : des couleurs différentes) et des images dans la gallerie. Elle sert aussi pour débloquer des stages du mode rève, où il faut un total de 2730 de proficiency sur tous vos personnages ("tuez-moi, tueeeez-moi"), et deux autres où là encore, 6 personnages spécifique doivent avoir 50 en proficiency. Donc avoir tué 250 officiers. Ou 12500 soldats, c'est au choix. À raison d'une dizaine d'officiers par level et d'environ 400 soldats à chaque fois, à répartir sur vos 6 persos, quel est l'âge du capitaine et au bout de combien d'heures à grinder devient-il fou ?
Imaginez ça juste un moment : supposons qu'on ait 90 personnages (j'arrondis à l'inférieur), et qu'on veuille compléter la gallerie. Je ne sais pas POURQUOI vous voudriez-faire ça, mais imaginons. Chacun de ces 90 personnages devra tuer 250 officiers. Donc en tout, 22500 officiers pour tous vos persos. Si on compte en péons de base, on arrive à un total 1 125 000 soldats massacrés. Cette somme, c'est le taux d'inflation du dollar zimbabwéen en Aout 2008. C'est aussi la population du Swaziland : pour débloquer des images, vous avez donc GÉNOCIDÉ LA POPULATION ENTIÈRE DU SWAZILAND. Et le pire dans tout ça ? VOUS N'ÊTIEZ MÊME PAS PAYÉS POUR LE FAIRE.
À 25€, c'est probablement un des meilleurs rapports durée de vie/prix que j'ai jamais eu, avec mon Disgaea qui m'en avait coûté environ 9, je crois. Mais ça ne veut rien dire. Une bonne durée de vie ne se simplifie pas à une durée de vie très très longue et très très chiante. Il faudrait que Koei le comprenne, et ils s'attireraient peut-être un peu moins l'ire de la presse.
Mais vu qu'ils ont ensuite sorti "Warriors Orochi Z" sur la ps3, qui est exactement comme le 2 avec 40 nouvelles missions et 4 nouveaux personnages, je ne suis pas des plus enthousiastes.

Ce qui ne m'empêchera pas de l'acheter si je me retrouve avec une ps3 et que je le trouve à moins de 20€. Je me déteste Koei, et je sais que tu aimes ça.

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